Pas moins de 36 ans après le déc.*s de Dalida, l’illustre chanteuse française, un album posthume spécial Noël de la chanteuse sera bientôt disponible, dès ce vendredi 8 décembre. Le projet intitulé Vive le vent comptera pas moins de 24 titres, à l’exemple de « Douce Nuit, sainte nuit », « Petit Papa Noël », « Pour vous » et même « Le petit clair de lune ».

Les tubes interprétés tout au long de sa carrière par la chanteuse ont pu être spécialement réorchestrés par Benjamin Terrier pour l’occasion. Ainsi, dans le but d’en faire la promotion, son frère Orlando s’est rendu sur le plateau de l’émission Chez Jordan, diffusée sur C8, ce matin du mercredi 6 novembre. Le producteur de Dalida, après avoir fait le plein de confidences, a également mentionné la vie de sentimentale de la chanteuse.

Orlando se livre sur l’idylle entre Dalida et Alain Delon « Chez Jordan »

Durant leur entretien, l’animateur de C8 Jordan De Luxe souhaitait en savoir plus au sujet d’une potentielle histoire d’amour entre la chanteuse disparue en 1987, et Alain Delon. « Écoutez, je vais vous dire la vérité… C’est monsieur Delon qui en a parlé. Mais moi je n’étais pas au courant parce que Dalida ne m’en a jamais parlé. Mais je suis content et fier qu’ils aient eu cette aventure. Je dis toujours pour rigoler : ‘au moins quelqu’un dans la famille l’a eu !’ « , a-t-il d’abord confié avec le plein d’humour.

Ensuite, Orlando a bien voulu à exprimer son entière affection pour Alain Delon. « Ils avaient démarré ensemble leur carrière, lui dans le cinéma et elle dans la musique (…) Sachant que j’aime beaucoup, que j’aime toujours, Alain Delon, Michel Drucker m’avait fait une surprise lors d’un Vivement Dimanche qui m’était consacré avec une interview d’Alain Delon.

C’est dans ces conditions qu’il a révélé qu’il a eu une histoire d’amour avec Dalida en 1963. Aujourd’hui, je n’ai eu de nouvelles directes d’Alain Delon. J’en ai eu par son fils, Anthony. J’espère qu’il va bien, je l’aime beaucoup, il le sait », conclut-il. Sa sœur était heureuse à ses côtés, et lui, l’était pour tous les deux.