Hier matin, Sabine Paturel a fait le plein de confidences face à Jordan de Luxe. Ce matin, en direct de Chez Jordan, la chroniqueuse de PAF Chez Jordan est revenue sur des aspects sensibles de sa vie, dont le complexe sur son corps.

Elle qui s’est toujours trouvée trop ronde, avoue avoir « appris à composer avec ». Mais elle n’aurait pas pu s’en sortir sans l’aide d’un chirurgien esthétique. Mais elle semble ne pas s’être limitée à un seul rendez-vous, elle qui déclare avoir « fait plein de trucs. J’ai fait la liposuccion, j’ai fait le BBL carrément parce que j’avais les fesses qui tombaient qui s’affaissaient avec l’âge. Donc j’ai fait réarrondir les fesses ».

Face à un Jordan de Luxe confus, elle a dû expliquer l’opération. Elle souligne ainsi : « On vous prélève le gras et vous le réinjecte pour bien arrondir, Donc ça, j’ai fait ça, mais j’ai toujours eu un beau postérieur. Là je l’ai rebombé quoi« .

Ludivine Rétory : Le montant pour sa chirurgie esthétique, révélé Chez Jordan

Ludivine Retory voulait également passer au « lifting bikini, c’est une mini-abdominaux plastie qui consiste à vous couper l’excédent de peau pour avoir le ventre plat. Moi j’avais un petit bout de chair, qui gondolait j’aimais pas quand je mettais mes maillots de bain, donc on m’a enlevé 5 cm, et là je suis vraiment bien, j’aime beaucoup« .

Plus loin, la maman de deux enfants déclare avoir également « fait un lifting mammaire », pour sauver sa poitrine des séquelles des « grossesses et les allaitements ». Bien sûr, la manœuvre n’aurait pas été complète pour Ludivine Retory sans avoir touché à son visage rond.

Cette dernière assure : « Les boules de Bichat je les ai enlevées du visage, parce qu’il était déjà bien rond, ça fait rien du tout. On vous ouvre ici, et puis après on enlève le gras« . À la question de savoir combien tout cela a pu lui coûter, Jordan de Luxe a reçu un choc en recevant sa réponse : « Entre 20 et 25 000 euros facile. Ça coûte cher bien sur mais quand on passe à la télé on peut avoir des petits arrangements ! ». Comme quoi, il faut vraiment souffrir pour être beau/belle.