Ce matin encore, Jordan De Luxe a convié une figure importante du monde de la musique sur le plateau de son talk-show Chez Jordan. Cette fois, c’est en présence d’Orlando, le célèbre producteur de musique et frère de l’icone de la musique, Dalida, que Jordan de Luxe a captivé l’attention des téléspectateurs.

Le tendre frère de Dalida a profité de l’occasion pour présenter le tout nouveau coffret de la chanteuse, m0*te en mai 1987, intitulé Vive le vent. Dans ce dernier, quelques photos exclusives de l’icone de la musique, certaines contenant son autographe.

« C’est un album« , précise le producteur, qui poursuit : « La longévité de Dalida, c’est parce qu’elle est Dalida. Elle est intemporelle (…) À l’époque, les deux femmes qui étaient les plus photographiées c’était Brigitte Bardot pour le cinéma et Dalida pour la chanson, car elle a été la première sex-symbol (…) Elle a touché à un moment à tous les styles », souligne Orlando.

Dalida : Orlando partage la vérité sur sa relation « Chez Jordan »

Dans le même élan, Orlando a également fait le plein de confidences sur la vie sentimentale de Dalida. De ce fait, il a souhaité établir la vérité au sujet d’une rumeur concernant sa sœur, apparemment en couple avec un célèbre chanteur en France dans les premières années 70.

Il s’agit de Mike Brant. « Il n’a jamais été avec Dalida. Ils ont été très proches, il l’adorait, presque peut-être qu’il était amoureux de Dalida, mais Dalida l’a toujours considéré comme son petit frère. Ils ont été très, très amis. On a fait l’Olympia ensemble », a-t-il évoqué juste avant de souligner de nouveau le fait qu’il n’y a jamais rien eu entre eux.

C’était par contre avec Alain Delon que la chanteuse a vécu une véritable idylle amoureuse, tel que Orlando a pris le soin de le rappeler. « Je n’étais pas au courant parce que Dalida ne m’en a jamais parlé. Je suis content et fier qu’ils aient eu une belle aventure, ils étaient beaux tous les deux (…) Ils avaient démarré ensemble leur carrière, lui dans le cinéma, elle dans la chanson, ils habitaient sur le même pallier (…) Le fil ne s’est jamais coupé », conclut-il confié. Tout est plus clair à présent.