« Ils ont engagé des services secrets » : la révélation troublante de Booba sur sa guerre contre les influenceurs

Les réseaux sociaux, ne seraient-ils pas le principal mal de ce siècle ? Chaque jour sur TikTok ou encore Instagram, des influenceurs font la promotion de produits dits miracles et présentent leur vie dans les moindres détails.

Impossible de ne pas citer les personnalités issus des télé-réalités patronnées par Magali Berdah (la patronne de l’agence Shauna Events), telles que : Maeva Ghennam, Manon Tanti, Jessica Thivenin ou même Nabilla Benattia. Avec des millions de followers à leurs actifs, ceux-ci font la pluie et le beau temps sur Instagram. Mais jusqu’à quand ce phénomène va-t-il durer ?

En effet, cela fait quelques mois que Booba a décidé d’entrer en guerre contre ces influenceurs, qu’il qualifie d’ « influvoleurs ». En mai dernier, la directrice du Shauna Events Révélait dans le Parisien avoir déposé une plainte contre B2o au procureur de la République de Marseille pour « cyberharcèlement et dénonciation calomnieuse »

« Je n’ai aucune idée de pourquoi il s’attaque à moi. Je ne le connais pas. Qu’est-ce qu’il cherche ? De la publicité pour remplir le Stade de France en septembre prochain pour son concert ? Je ne comprends pas. Les réseaux sociaux sont une jungle où les cyber harceleurs sont rois », s’indignait t-elle, révélant qu’elle avait été victime de nombreuses menaces de mort sur les réseaux sociaux suite aux assauts de Booba.

Booba… Pisté ?

Booba a débuté cette guerre alors qu’il aurait été lui-même victime d’arnaque par Marc Blata, comme il l’affirmait récemment dans Libération. “J’ai découvert le rôle de leur pseudo manageuse, Magali Berdah, la reine de la futilité. Ça m’a donné envie de creuser pour comprendre. Comprendre pourquoi des milliers d’internautes les accusent d’escroquerie”, confiait celui qui pourrait bientôt se retrouver face à Rohff dans un ring.

Toutefois, cette guerre semble réciproque… Ce samedi 13 août dans les colonnes du Parisien, Booba affirme même que cette gué guerre serait « partie en couilles ». 

“Ils ont engagé des services secrets. Je me retrouve avec des filatures, un traqueur GPS sous ma voiture, j’ai attrapé un clochard qui fouillait dans mes poubelles (…) J’ai démasqué l’opération. Je suis dans un combat de vie ou de mort. J’irai jusqu’au bout. C’est vraiment des démons (…) J’ai des caméras de surveillance, une sécurité, un chauffeur armé…”, confie le duc de Boulogne. La trêve n’est donc pas prête de sonner.