C’est déjà le dernier numéro de la semaine pour Jordan De Luxe et son émission Chez Jordan. Comme chaque jour de la semaine, les téléspectateurs de C8 ont retrouvé l’animateur et son invité du jour. Et au lendemain du passage de Virginie de Clausade qui s’est confié sur ses addictions, c’est au tour de Jean-Luc Moreau de répondre aux questions du présentateur de Chez Jordan.

Réalisateur et producteur français, il est reconnu pour la qualité et la diversité de son travail audiovisuel. Fort d’une carrière prolifique s’étalant sur plus de trois décennies, cet homme de l’art s’est imposé comme l’une des figures emblématiques du paysage cinématographique.

Chez Jordan : Jean-Luc Moreau, son avis cash à propos de Jamel Debbouze, Éric Judor et Ramzy

En 2013, Jean-Luc Moreau a publié aux éditions Michel Lafont son autobiographie intitulée J’y étais. Dans cette œuvre, le metteur en scène, tout comme Patrick Balkany, a vivement critiqué plusieurs comédiens, précisément Jamel Debbouze, Éric Judor et Ramzy.

“Naguère débutants normalement payés, ils étaient devenus des stars grassement rémunérées, avec des exigences. Ça les avait rendus particulièrement impertinents, éclatés du soir au matin, rivalisant de caprices. Des sales gosses, quoi”, avait-il écrit.

Invité sur le plateau de Chez Jordan ce vendredi 7 juin 2024, le présentateur n’a pas hésité à interroger ce dernier sur ses propos. C’est donc sans filtre que Jean-Luc Moreau, plus de 10 ans après ses confidences, a révélé que le trio était insupportable.

“Ils se permettaient tout”

Face à Jordan De Luxe, le metteur en scène a ajouté : “C’est des sales gosses, a-t-il réitéré. À ce moment-là, ils se permettaient tout comme des enfants. Le problème c’est que si on les laissait faire, c’était n’importe quoi.” Lors de son interview sur le plateau de Chez Jordan, Jean-Luc Moreau s’est d’ailleurs souvenu d’une journée de tournage particulièrement difficile. Au point où il avait interdit les téléphones. Une règle que Jamel Debbouze n’avait pas respectée. “

C’était en direct, il y avait du public. Moi, j’étais en régie avec les caméras et puis je dis ‘moteur’. Jamel commence à jouer et au bout d’un moment, j’entends ‘Dring’ et il répond : ‘Arrête, je suis en train de gagner ma vie là, arrête de m’appeler’. Je prends le téléphone, je rentre dans la salle de régie, je dis ‘moteur’ à nouveau, le dialogue commence. Et là, ‘Dring’, un deuxième téléphone était caché dans sa chaussure”, a-t-il raconté. Rien de vraiment surprenant venant de Jamel Debbouze.