Mélanight poursuivie par la DGCCRF pour placement de produits frauduleux

Mélanight au cœur d’une sombre affaire ! Les placements de produits frauduleux font rage en ce moment et sont vivement dénoncés par Booba. Depuis plusieurs mois en effet, le Duc de Boulogne s’est lancé dans une croisade contre ceux qu’il a rebaptisés influvoleurs.

Et ce en raison de leurs arnaques sans scrupules. Alors que ce combat se poursuit, une candidate de télé-réalité fait des révélations à ce sujet.

Coup de gueule

Mélanight, personnalité emblématique multiplie les sorties en ce moment sur les réseaux. Et pour cause, la jeune femme s’indigne du comportement « dégoûtant et écœurant » de certains influenceurs Français. Lesquels arnaqueraient les banques ou s’exileraient dans d’autres pays, pour ne pas avoir à payer les impôts.

« Je vois des comportements en ce moment sur les réseaux objectes ! Dégoûtant ! Écœurant ! Le rabaissement social est la chose que je déteste le plus au monde ! La prétention de l’air hautain de dire, je suis mieux que vous.’ (…) Donc moi comme tous, nous devons payer des impôts pour un système qui se fait arnaquer par des déserteurs fiscaux. » A-t-elle déclaré tout récemment.

Mélanight poursuivie pour placement de produits frauduleux

Ce lundi lors d’une FAQ, Mélanight a surpris les internautes avec une grande confidence. En effet, la candidate a avoué avoir déjà fait des placements de produits frauduleux.

Ajoutant qu’elle serait dans le viseur de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) pour cette raison !

Questionnée par un internaute à savoir : « Es-tu poursuivie par la DGCCRF ?« , celle-ci a répondu : « Oui. », avant d’expliquer : « Par une faute d’inattention, j’ai fait confiance à un ex-proche qui m’a fait faire un placement frauduleux. Je n’avais pas regardé la vidéo qu’il m’avait envoyée avant de la poster. »

Mélanight assure être plus prudente depuis lors et faire moins de placements de produits, puis conclut : « Sachez que pour ce placement de produit frauduleux, je n’ai pas pris 1 euro. Et moi et ma famille avons été menacés. Je m’excuse encore pour la gêne occasionnée, cela ne se reproduira plus jamais. » Elle a le mérite d’être vraie.