L’émotion de Béatrice Rozen face au patron d’un Ephad : au bord des larmes en évoquant sa grand-mère

Le Covid-19 laisse encore des traces. Alors que 12 000 soignants ont été suspendus car non vaccinés, Cyril Hanouna reçoit sur le plateau de TPMP une des infirmières actuellement sans emploi. Venue s’exprimer sur ce scandale, elle demande à ce que le gouvernement réintègre ce personnel dont l’hôpital a actuellement besoin. Par ailleurs, l’animateur rappelle qu’une dame âgée est décédée de déshydratation alors qu’aucun soignant ne s’occupait d’elle. Face à Danny Forster, directeur d’Ephad, la tension monte d’un cran.

Béatrice Rozen, bouleversée en évoquant sa grand-mère de 100 ans

« Même les patients d’Ephad ne veulent pas de personnel irresponsable comme vous », lance l’homme d’affaire face à Florence, aide soignante. « On a bien vu que les directeurs d’Ephad avaient plus d’intérêt pour l’argent que du bien-être des patients », rétorque-t-elle. Suite à un débat corsé entre les deux parties, Béatrice Rozen a tenu à intervenir. En effet, la chroniqueuse a évoqué sa grand-mère, âgée de 100 ans, résidente d’un Ephad, en pleine forme : « Elle avait toute sa tête, on l’a harcelée pour qu’elle se fasse vacciner. Harcelée ! »

Béatrice Rozen s’emporte face à Danny Foster

« On n’avait plus le droit d’aller dans sa chambre. Pour ses derniers jours, je n’ai pu la voir que dans un salon, en bas, avec un masque, 20 minutes. C’est une honte. 20 minutes avec elle pour ses 100 ans. Je ne le pardonnerai jamais », s’emporte Béatrice Rozen. « Vous confondez entre le droit des visites et le consentement à la vaccination », ajoute Danny Foster, sur la défensive. « Non ! C’était de la répression, car elle avait refusé de se faire vacciner. » Un débat tendu comme on s’en doutait. En effet, le sujet de la vaccination continue de diviser et divisera sans doute encore…