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Indra dévoile “Chez Jordan” (C8) sa mauvaise expérience avec la chirurgie esthétique

Indra, célèbre chanteuse, était sur le plateau de “Chez Jordan” (C8) afin de nous faire part du calvaire qu’elle vit au quotidien, à cause de la médecine esthétique.

Aristide M
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Indra dévoile “Chez Jordan” (C8) sa mauvaise expérience avec la chirurgie esthétique
Résumé de l'article

👉 Indra était invitée « Chez Jordan » (C8) ce matin
👉 La chanteuse suédoise a fait part de l’enfer qu’elle vit depuis la médecine

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Hier matin, Jordan De Luxe a reçu Fiona Gélin. Ce matin, si vous étiez scotchés à l’antenne ce matin, vous avez très facilement reconnu notre invitée. Il s’agissait d’Indra, célèbre chanteuse et actrice suédoise. L’invitée du jour de Jordan De Luxe, en faisant part de son quotidien, nous a dévoilé son énorme regret pour avoir essayé la médecine esthétique. Un choix qui lui inflige d’atroces souffrances depuis bien longtemps.

Indra souffre beaucoup trop

Indra, de son nom complet Indra Kuldasaar, était sur le plateau de “Chez Jordan” (C8) ce matin. Il s’agit d’une chanteuse et actrice suédoise qui est née le 20 juillet 1967 dans la ville de Göteborg en Suède et de parents estoniens. Cette dernière a pu échanger avec Jordan De Luxe au sujet de certains aspects de sa vie, y compris son plus grand regret : sa très mauvaise expérience la médecine esthétique.

Cette dernière déclare que c’était dans le but de rafraîchir sa silhouette et notamment son visage qui était déjà à la merci des rides. Le premier botox qu’elle a eu à faire en 2006 était pourtant une réussite. Même si elle avoue qu’elle sentait “quelque chose flotter au-dessus de sa tête”, les résultats étaient toutefois remarquables.

Néanmoins, le calvaire commença lors de sa deuxième injection de botox. Tous les muscles du bas de son visage ont cessé d’être fonctionnels. Cette dernière n’a pas souhaité porter plainte contre le docteur qui est encore navré jusqu’à présent. Comme elle le dit elle-même : “Je pense que ce sont les tissus (…) je suis né avec de grandes allergies. Ma mère me décollait les draps de la peau chaque matin, j’étais attaché pour ne pas me gratter, on m’ouvrait les yeux le matin à l’aide de coton imbibé avec de l’eau. C’est un problème tissulaire, un problème de neurotransmetteurs.”
On comprend donc que la jeune femme est malheureusement un cas d’exception et qu’elle l’a compris à ses dépens. Cependant, elle reste forte et se bat aux quotidien contre les séquelles qui se manifestent encore aujourd’hui. Newstories lui souhaite bon courage.

Aristide - rédacteur chez newstories

À propos de l'auteur, Aristide M

Grand amoureux de la lecture, j’ai trouvé logique à un moment d’essayer de prendre la plume moi-même. Et depuis, la rédaction web est une passion que je ne cesse de pratiquer au quotidien et avec le sourire !