Il y a tout juste quelques jours, Julia Paredes s’est confiée à ses abonnés, au sujet de ses difficultés à trouver une maison à Dubaï. En effet, étant donné que la jeune maman s’est encore séparée de Maxime Parisi, celle-ci cherche à présent un tout nouveau logement.

Mais les choses ne se dérouleront pas comme prévu. Julia Paredes affirme qu’elle s’est presque retrouvée “à la rue dans quelques jours”. Heureusement pour elle, tout est rentré dans l’ordre. La candidate a même pu trouver une fabuleuse maison à juste cinq minutes de l’école de Luna.

Toutefois, la mère de famille fait actuellement face à d’autres problèmes. Après de nombreuses critiques sur son long allaitement, celle-ci partage son mal-être concernant un tout autre sujet. 

Julia Paredes, accablée, s’exprime

Via sa story Instagram, Julia Paredes s’est dernièrement livrée sans filtre à ses abonnés. La maman de Luna et Vittorio a fait part de ses multiples difficultés à élever ses enfants toute seule. “Il faut avoir les reins solides quand on est parents ! Je suis à un stade d’énervement et de fatigue je n’arrive même pas à retenir les larmes en public ! Les enfants sont fatigués donc ils m’en font voir de toutes les couleurs. Je ne leur en veux pas, je sais que c’est la fatigue mais il faut tellement s’armer de patience que parfois c’est trop. Tout ça il faut le savoir car on n’est pas préparé à tout ça”, explique la maman en story.

Puis, durant une session de questions/réponses, un abonné lui a proposé de laisser ses enfants avec la nourrice, pour se reposer. Julia Paredes a répondu à cette suggestion en déclarant : “Les enfants ne sont pas habitués à rester trop longtemps avec d’autres personnes. Luna n’est pas facile en ce moment. Elle essaye de prendre le dessus sur pas mal de monde, j’arrive quand même à la canaliser malgré tout donc je préfère qu’elle reste avec moi. Et j’allaite Vittorio donc difficile de le laisser trop longtemps avec la nanny.”

Julia Paredes s’est par la suite exprimée sur son état mental à ses abonnés. Elle indiquait se sentir “dépassée” et “seule”. Mais surtout qu’elle avait tendance à très souvent s’énerver en cette période, chose qui la fait culpabiliser. C’est pas facile tous les jours, d’être maman.