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« Je suis blanc » : Simon Castaldi réagit aux sanctions de la DGCCRF

Simon Castaldi sort enfin du silence. Sanctionné par la répression des fraudes, le fils de Benjamin Castaldi prend la parole et affirme son innocence.

Frank Anicet
🕓 Modifié le
"Je suis blanc" : Simon Castaldi réagit aux sanctions de la DGCCRF
Résumé de l'article

👉 La DGCCRF a donné une première sanction contre les influvoleurs
👉 Simon Castaldi et Illan Castronovo sont les premiers visés
👉 Le fils de Benjamin Castaldi sort enfin du silence et s’exprime

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Simon Castaldi brise enfin le silence suite à la sanction de la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF). Le fils de Benjamin Castaldi et son pote Illan Castronovo sont les premiers influenceurs à être épinglés par cet organisme pour pratiques commerciales trompeuses.

Ce n’était qu’une question de temps avant que les premières sanctions tombent ! Depuis plusieurs mois en effet, Booba s’est lancé dans une croisade contre les influenceurs qu’il a rebaptisé influvoleurs afin de mettre à nu leurs arnaques sur les réseaux.

Le rappeur remet en cause leurs placements de produits, la promotion de sites frauduleux ou encore de drop shipping. Sans oublier les arnaques aux CPF ainsi que les placements interdits sur le trading et tout autre jeux d’argent.

Simon Castaldi affirme son innocence

"Je suis blanc" : Simon Castaldi réagit aux sanctions de la DGCCRF
Instagram @simoncastaldi

Alors, Simon Castaldi serait-il coupable d’arnaques ? Suite à la sanction de la DGCCRF, le compagnon d’Adixia s’est exprimé dans la soirée de ce jeudi 1er juin. Lynché par certains internautes, le jeune homme ulcéré a vite fait de calmer les ardeurs.

« J’ai été condamné seulement et uniquement parce que j’ai oublié le hashtag sponsorisé sur certains de mes placements de produits dans le passé. Qu’on soit bien clair, je n’ai ni fait d’arnaques, ni de trading bizarres, ni de vol de carte bleu. Je n’ai jamais fais de CPF. » Précise-t-il tout d’abord.

Avant de poursuivre : « Je suis très content que les choses bougent et que l’état prend enfin conscience des dérives que les réseaux sociaux qui peuvent avoir. Je suis totalement transparent... J’ai montré tous mes chiffres, mes impôts, je suis blanc ! J’ai été un petit peu naïf sur certains points parce que je n’avais pas connaissance de toutes les lois d’influenceurs qu’il y avait. »

Alors qu’en pensez-vous ? Cela suffira à le dédouaner ?

Frank

À propos de l'auteur, Frank Anicet

L’écriture et la lecture ont toujours été une véritable passion depuis l’enfance. Bien qu’ayant une licence en géographie humaine, j'ai décidé de me lancer en tant community manager pour différents médias et ensuite dans le métier de rédacteur web pour Newstories.fr. Ma curiosité et l'intérêt que je porte aux news me permettent, je l'espère, de vous divertir le plus possible.