« Sans L’amour est dans le pré, je serais peut-être mort » : Jean, candidat de la saison 17, se confie

En février dernier, le portrait de Jean, candidat de la saison 17 de L’amour est dans le pré, a été diffusé et celui-ci avait notamment marqué les esprits. L’éleveur de bovins a révélé qu’il s’était inscrit au programme de son propre chef. Né d’un père non déclaré, Jean a été admis à la DDASS à cinq mois et demi seulement puisque sa mère ne pouvait pas le prendre en charge.

Cependant, il a eu une enfance difficile, ce qui ne l’a pas empêché de fonder une famille plus tard. Jean est également père de trois enfants issus de deux mariages.

S’il est indéniable que Jean aime son travail, ce dernier aspire désormais à bien plus. Il s’est en effet inscrit au programme après le bilan de la saison dernière. Lors de son interview au Parisien, Jean a confié que l’idylle de Jérôme et Lucile, qui se sont dit « oui », ce samedi 27 août, lui a redonné espoir.

De quoi le motiver à envoyer sa demande participation, puis à refaire son look après la diffusion de son portrait. Ce dernier qui n’avait jamais emprunté le train, a découvert la ville de Paris et la Tour Eiffel lors du speed dating.

Jean se confie

Les téléspectateurs ont pu le découvrir au démarrage de cette nouvelle saison. Jean a invité chez lui deux femmes aux caractères opposés : Laurence et Nathalie, après le speed dating qui s’est déroulé sur un bateau-mouche. Avec poésie, il s’est confié sur ce moment de l’émission et explique : « J’ai senti une vague faire bouger le bateau, et puis j’ai senti une deuxième vague, dans mon cœur, cette fois. »

Jean s’est positionné en observateur avec ses deux prétendantes, avouant cependant avoir sournoisement tendu quelques pièges à celles- ci. Notamment au moment de faire les courses, pour savoir si l’une d’entre elles se montrerait impatientes.

De quoi lui permettre de déterminer laquelle sera éliminée. Si l’élévateur de 60 ans pas révélé son choix, il confie toutefois que sans le programme présenté par Karine Le Marchand, il serait « peut-être mort aujourd’hui. » Bien qu’il n’ait pas été dépressif, Jean, confesse tout de même que : « Non mais j’allais le devenir. Ce n’est pas évident d’être seul le soir quand on l’est déjà la journée. »