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Mélanie ORL : Les internautes mitigés face à la sanction de la DGCCRF ?

Mélanie ORL est à son tour visée par une injonction de la DGCCRF. Les internautes font deux clans : celui pour les sanctions et celui qui ne comprend pas...

Charlotte Lamouche
🕓 Modifié le
Mélanie ORL : Les internautes mitigés face à la sanction de la DGCCRF ?
Résumé de l'article

👉 Les influenceurs passent à la caisse ! Mélanie ORL n’y coupera pas…

👉 La DGCCRF étudie tous les dossiers des influenceurs, même a posteriori

👉 Poupette Kenza, Mélanie ORL, Maeva Ghennam, Simon Castaldi… Tout le monde y passe !

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Ils sont nombreux à tomber sous les injonctions de la DGCCRF. Depuis le début de l’été, le gouvernement se félicite d’une nouvelle loi visant à encadrer le métier de l’influence et ses pratiques douteuses. Tout le monde y passe… Maeva Ghennam fait partie du lot ainsi que Poupette Kenza.

En effet, Poupette Kenza, qui fête ses millions d’abonnés sur TikTok et Instagram vient d’écoper d’une amende salée ! 50 000 euros pour avoir fait de la promo pour un produit de blanchiment des dents vigoureusement interdit en France. Sa défense ? Elle n’était pas au courant.

C’était sans compter les enquêteurs du web capables de faire des fouilles archéologiques sur les réseaux. Ainsi, ils ont pu faire remonter un vocal entre Poupette et un inconnu. Dans le contenu, on peut entendre clairement que Poupette est mise au courant de la nocivité et l’interdiction du produit dont elle vantait les mérites. Bref ! Ils sont tous surveillés de près maintenant…

Mélanie ORL sanctionnée par la DGCCRF

Mélanie ORL est elle aussi visée par la DGCCRF. Pas de chance pour les influenceurs, même s’ils se tiennent aujourd’hui à carreaux, leurs pratiques datant d’il y a deux ou trois ans sont elles aussi sanctionnées.

La DGCCRF s’exprime en ces termes à l’encontre de l’ex de Greg Yega :

« Les agents CCRF @DGCCRF_off du Service National des Enquêtes ont initié une injonction administrative à l’encontre de Mélanie ORLENKO. Sur son compte Instagram @melanie_orl, celle-ci : 1/ donne l’impression qu’un service d’injections d’acide hyaluronique réalisé par une prestataire ne disposant pas des qualifications requises pour effectuer de tels actes médicaux est licite alors qu’il ne l’est pas. 2/ affirme d’un service de tipster (conseil en paris sportifs) qu’il augmente les chances de gagner aux jeux d’argent et de hasard. 3/ n’indique pas l’intention commerciale de ses publications à visée publicitaire. Ce sont des pratiques commerciales trompeuses au sens du code de la consommation. »

DGCCRF

Les internautes font deux clans : le pour et le contre

Pour les followers de Mélanie ORL, il y a clairement deux clans. D’un côté, ceux qui soutiennent la jeune candidate du Reste du Monde, de l’autre, ceux qui pensent que la sanction est méritée. Ainsi, on peut lire : « Les gens qui disent courage j’ai pas compris ? Tout le monde se plains des arnaques d’influenceurs et maintenant c’est « les pauvres » ? Il faut savoir ce que vous voulez ! »

Ou encore : Ou encore, « Ben moi je trouve vachement bien leur nouvelle loi! Je suis tout à fait le genre de fille à croire à tout et à me faire arnaquer! Alors merci #gouv.fr ».

L’autre équipe, celle qui soutient la jeune femme, ne comprend pas une sanction qui tombe « deux ou trois ans après les faits ».

Qu’on se positionne pour ou contre les sanctions a posteriori, les influenceurs devront tous passer à la caisse un moment donné…

Charlotte Lamouche - rédactrice chez newstories.fr

À propos de l'auteur, Charlotte Lamouche

Passionnée de voyages, de culture et de médias, j'ai étudié le cinéma. Aujourd'hui très heureuse au sein de Newstories, je suis revenue à mes premières amours : l'écriture, la pop culture et les médias !