En service depuis 2005, depuis l’époque de Direct 8, Sandrine Arcizet est à l’animation de Gym direct et Les Animaux de la 8, deux programmes de C8 qui perdurent grâce aux fans fidèles qui les suivent. Un peu de bonheur dans la vie de l’animatrice qui a été confrontée à des évènements troublants dans sa vie.

En effet, cette dernière a dû faire face à une opération à cœur ouvert, des suites d’un « anévrisme de l’aorte ». L’opération a été un véritable succès, mais une énorme cicatrice a été laissée par cette dernière, au centre de sa poitrine. Une imperfection qu’elle a mis du temps à accepter.

Mais une étape de sa vie lui a donné bien plus de mal que celle-ci. Dans sa vingtaine, Sandrine Arcizet a dû affronter le déc*s de sa maman. De passage dans l’émission Chez Jordan ce lundi 23 octobre, elle revient sur cette période douloureuse.

Sandrine Arcizet relate sa vie après le déc*s de sa maman « Chez Jordan »

En pleine vacances en Sicile, à peine âgée de vingt ans, Sandrine Arcizet a été traumatisé depuis un coup de fil. « Apparemment, c’était une embolie pulmonaire. Elle est partie dans la nuit. On m’a réveillée à cinq heures du matin en Italie. On vous dit ça brusquement comme ça, après faut reprendre l’avion », avoue l’animatrice, encore bouleversée. Les mois suivant le déc*s de sa maman étaient tout sauf une tâche facile.

« C’est compliqué parce que j’avais mon petit frère. On était quatre. Je l’ai perdue brutalement du jour au lendemain. Il faut réapprendre à vivre sans et c’est vrai que j’avais une relation très fusionnelle avec ma mère. Je lui racontais tout. C’est perdre un repère hyper important« , souligne Sandrine Arcizet.

Et les conséquences de ce drame ont été sans appel. « Je l’ai eu tard, parce qu’au début je n’avais pas cette envie d’avoir un enfant. Ce n’était pas quelque chose que je ressentais. Et puis du jour au lendemain en sortant de ma douche et j’ai dit ‘je veux un enfant’ « .

Elle conclut : « Peut-être que comme j’ai eu le décès de ma maman, je me suis dit que j’allais faire un enfant et que moi après j’allais décéder et lui rester tout seul, comme moi je suis restée toute seule. » Une lourde étape qui a difficilement été traversée.