“C’est la pire des drogues” : Simon Castaldi évoque son addiction aux jeux d’argent

Simon Castaldi, n’est pas du genre à mâcher ses mots et pour lui, parler d’argent n’est pas un sujet tabou. L’ancien candidat de s’est récemment confié sur plusieurs sujets dans la nouvelle émission YouTube de Laura Lempika. Alors interrogé sur ses revenus par l’ex de Nikola Lozina, le jeune homme a révélé en toute transparence ce qu’il gagne par mois.

« On a une vie dans laquelle on n’a pas de salaire fixe, tu connais un peu. Mais je peux te donner une tranche. Franchement, au minimum du minimum (…) Je ne touche pas moins de 6 000 euros par mois. Après, j’ai des business, des boîtes, donc ça ne compte pas… Dans mes gros mois, je peux monter jusqu’à 25 000 ou 30 000 euros de chiffre d’affaires”. A-t-il confié.

« J’ai dû perdre 10 000 balles »

Toujours face à Laura Lempika, Simon Castaldi a ouvertement dézingué Greg Yega qu’il juge hypocrite et jaloux. Par ailleurs, le fils de Benjamin Castaldi a fait mention de son rapport aux jeux d’argent, évoquant ses expériences.

Simon s’est souvenu de la plus forte somme qu’il a gagnée (100 000 dollars) en seulement quinze après avoir misé 500 dollars. Mais on ne gagne pas toujours dans ces jeux-là ! Le jeune homme a ensuite avoué avoir perdu 10 000 euros en une soirée :

« La plus grosse somme, je m’en souviens très bien, a d’abord lancé Simon. C’était quelque temps avant de vous rejoindre à Ibiza. J’ai pris 100 000 dollars, au casino en ligne, en mai 2022, en mettant seulement 500 balles (…) J’ai pris 100 000 en quinze minutes, c’était un truc de fou ! En un soir, sur un coup, j’ai dû perdre 10 000 balles ».

Simon Castaldi évoque son combat contre l’addiction

Simon Castaldi a ensuite comparé ce jeu d’argent à la pire des drogues, décrivant l’adrénaline, l’obsession de la victoire que cela procure. Sans aucun filtre, il confie à Laura Lempika : « Le jeu, c’est la pire des drogues (…) Ça t’apporte tellement d’adrénaline. T’es tellement dopé à ça que tu en viens à rechercher la peur de perdre ».

Puis d’ajouter : « Et j’ai compris que le vrai joueur s’en fout de gagner parce qu’il veut seulement avoir ce frisson [d’incertitude]. Le jeu, tu ne t’en sors jamais vraiment ».

Et de conclure : « Regarde mon père, c’est un joueur. Ce n’est pas à cause de ça qu’il a tout perdu, mais il a beaucoup joué« . Tel père, tel fils ! Alors qu’en pensez-vous ?