Amandine Pellissard : Discriminée à la pharmacie pour son traitement contre la dr*gue !
Amandine Pellissard était presque en larmes dans ses dernières stories. La pharmacie dont elle dépend refuse de lui donner son traitement à la méthadone qu'elle ne peut pourtant pas interrompre.
👉 Amandine Pellissard ne l’a jamais caché, elle a longtemps été addict à la dr*gue
👉 Soignée depuis 15 ans, elle n’a jamais eu de soucis
👉 Depuis qu’elle a déménagé, la jeune femme fait face à des pharmaciens peu bienveillants
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Amandine Pellissard a maintenant tout pour être heureuse ! Sa petite famille de neuf enfants est maintenant au grand complet. Le week-end dernier, les parents ont fait une grande surprise à leur tribu. La petite Maéna, née prématurément le 6 août dernier, a enfin pu rejoindre la maisonnée. Un grand bonheur pour tout le monde.
Quelques zones d’ombres au tableau. En effet, le fils aîné, Léo, n’a toujours pas trouvé de lycée depuis le déménagement de la famille. Qui plus est, il refuse les cours par correspondance. Il n’a qu’une idée en tête : intégrer l’école 42, une grande école d’informatique. Seulement, il faut le bac ! Amandine Pellissard n’en démord pas, elle veut que son grand fils l’obtienne. Elle a peur d’un véritable décrochage scolaire.
Ce lundi, un drame a été évité de justesse ! Alors qu’ils étaient en live sur Instagram, Amandine et Alexandre Pellissard ont été surpris par un départ de feu devant leur maison.
Amandine Pellissard victime de discrimination
« Désolée, on a eu un départ de feu devant notre palier… On reporte donc le live », annonce la maman en début de live, promettant de revenir rapidement. Heureusement, plus de peur que de mal ! Cependant, dans une vidéo suivante, Amandine Pellissard rappelle qu’elle suit un traitement à la méthadone depuis une quinzaine d’années. (Un traitement lié à la toxicomanie dans laquelle elle a plongé plus jeune).
« Jusque-là, on est tombé sur des médecins et des pharmacies bienveillantes, on peut le dire. Mais ce n’est plus pareil depuis qu’on est ici. Suite à ma grossesse, le médecin addictologue qui me suit a dû envoyer mes ordonnances par le biais de fax à la pharmacie dont je dépends. Bizarrement, les fax, ils ne les recevaient pas. C’est ce qu’on me disait. » Commence Amandine Pellissard.
« On sentait vraiment la difficulté de nous mettre en difficulté. Au bout d’un moment, j’ai dit stop. Le médecin a alors proposé de les envoyés en plus par e-mail. Bizarrement, même en faisant ça, la pharmacie ne les recevait pas. Il faut dire qu’on avait déjà ressenti un peu d’animosité de la part de ces gens-là. »
Déontologiquement, ça ne semble pas tout à fait jute !
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À propos de l'auteur, Charlotte Lamouche
Passionnée de voyages, de culture et de médias, j'ai étudié le cinéma. Aujourd'hui très heureuse au sein de Newstories, je suis revenue à mes premières amours : l'écriture, la pop culture et les médias !