Jessica Knoll, une ancienne rédactrice en chef de Cosmopolitan, est face à un dilemme dans le tournage du film American Girl. 

Elle a l’impression d’être à nouveau dans son vécu. On dirait que c’est propre histoire en version film. Ses émotions sont intenses. Peut-elle survivre à cette réalité en scénario et dont elle-même en est la comédienne ? 

Dans cet univers plein de coïncidences, elle se rappelle des traumatismes qu’elle aurait vécu dans la vie réelle. Elle s’exprime et fait des confidences très surprenantes à propos du film. Prêts à le savoir ? On vous dit tout à la suite de cet article.

Jessica Knoll revit des souvenirs traumatisants

En semant au préalable le doute en ce qui concerne son héroïne, American Girl met progressivement en évidence les évènements terribles qu’elle a affronté au travers des flash-back. 

Commençant comme un thriller, le film prend par la suite un virage très étonnant et surtout émouvant, vu que le personnage n’a pas d’autres choix que de fendre l’armure et de faire face à ces traumatismes.

Elle décide aussi de rendre témoignage sur les successions de viols dont elle a été victime en écrivant une tribune dont elle voit directement l’impact et contribue au relâchement de la parole.
Aussi scénariste du film, Jessica Knoll a dû s’inspirer de sa propre histoire pour développer celle d’Ani. Alors qu’elle avait au préalable rassuré que son ouvrage était une fiction, l’écrivaine a également fait des confidences dans une plateforme publiée sur Lenny Letter, dans laquelle elle fait des révélations fracassantes.

C’est alors qu’elle dit avoir été violée par un collectif de personnes. Interviewée par Today pour la promotion du film American Girl, elle indique : “je me sens toujours un peu indigne quand on me dit que je suis courageuse, parceque j’ai dû me confier à travers la fiction. Il y avait des choses en lutte à l’intérieur de moi.” Jessica au départ n’a pas voulu prendre part aux scènes de viol parcequ’elle ne voulait pas mettre les acteurs mal à l’aise. Si elle affirme avoir surmonté ce qui lui est arrivé, la scénariste a aussi réalisé qu’il ne faudrait pas aussi banaliser de telles choses.