Jean (ADP 17) : ce qu’il n’aurait jamais accepté de faire pour trouver l’amour

Les téléspectateurs de L’amour est dans le pré ont pu faire la connaissance de Jean et ses confrères au mois de février. L’élévateur fait partie des candidats de la nouvelle saison du programme d’amour animé par Karine Le Marchand.

Lors de la diffusion de son portrait, on a appris que ce dernier, âgé 60 ans, avait un passé assez triste. Né d’un père non déclaré, celui-ci avait été placé à la DDASS alors qu’il avait encore 5 mois et demi, car sa maman n’avait pas les moyens de le prendre en charge.

Des passages assez complexes de sa vie qu’ils auraient cependant pu surmonter, avec trois enfants issues de deux mariages. Célibataire ces dernières années, l’éleveur de vaches allaitantes auvergnat a pris la résolution de changer de vie après avoir regardé le bilan de L’amour est dans le pré (dans lequel Jérôme et Lucile sont apparus).

« Après de longs mois de solitude, j’ai compris que je ne pourrai jamais m’y habituer. J’avais le choix entre me jeter la tête la première dans L’amour est dans le pré ou prendre un traitement contre la dépression (…) Je me suis dit, j’ai des prés, donc je peux tenter. », confiait-il dans les colonnes de Télé Star.

Jean se confie 

Dès le début, Jean a pris la nouvelle aventure très au sérieux, en changeant notamment de dentition et en réfléchissant ainsi aux erreurs à éviter. : « Je suivais l’émission, mais quand je me suis retrouvé célibataire, j’ai regardé ça de plus près. Ça m’a aidé à me décider sur quelques critères (…) Mais pas au-dessus pour recevoir moins de courrier et faciliter mon choix de prétendantes. » Serein face aux caméras, il affirme ne jamais avoir eu l’idée de recourir à un site de rencontre. Et la raison est simple.

« Impossible ! Je ne sais même pas me servir d’un ordinateur, donc je n’aurais pas su m’inscrire (…) Ça a un côté pas sérieux. C’est plus rapide, il y a plus de choix près de chez moi alors que L’amour est dans le pré, ça prend plus de temps (…) Il faut être patient en amour (…) C’est ce qui fait la différence entre s’enflammer ou vivre une belle histoire », confie-t-il avec sagesse.