Ce soir à la télé : « Le Transporteur 2 » (TFX) et ses courses poursuites bourrées d’adrénaline

Ce soir à télé, vous aurez droit au film Le Transporteur 2 sur TFX. Ce film américain qui a bouleversé des milliers de cinéphiles par le passé n’a pas fini de vous surprendre. Comme la plupart des Français, vous avez sans doute déjà pu le voir, mais étiez-vous au courant des risques qu’ont pris les équipes de tournage pour mettre au point les scènes de courses poursuites ?

Frank Martin un chauffeur hors du commun

Ancien officier des Marines, Frank Martin est clairement un chauffeur d’un type très particulier : afin de gagner son pain, il s’occupe du transport des cargaisons douteuses pour des gangsters niçois. Généralement, ce dernier ne pose aucune question à ses multiples clients. Mais voilà qu’un jour, lorsqu’il ouvra le coffre de sa berline, il enfreint la règle numéro un : ne pas ouvrir le sac ni toucher à la marchandise… il y découvre ainsi Lai, jeune réfugiée asiatique. Son acte l’entraîne aussitôt dans une très sombre histoire de trafic d’êtres humains mis en place par un truand dénommé Wall Street. Il n’aura donc pas d’autre choix que de se retourner contre ses anciens employeurs.

Des courses poursuites dangereuses

Le scénario du film comptait de multiples scènes de courses poursuites en voitures. L’une d’entre elles prenait place sur les trottoirs et la chaussée de la promenade des Anglais dans la ville de Nice. L’ensemble de la production a pu obtenir une autorisation exceptionnelle d’interdire tout accès à cet endroit pourtant touristique. Les autorités leur ont aussi permis de tourner une scène du film où les acteurs prennent la voie de la Croisette à Cannes et en sens interdit. Le genre de scènes bourrées d’adrénaline, parfaitement au goût du public et particulièrement de Jason Satham.

La virée nocturne au sein du port autonome ainsi que les scènes des routes de montagne ont quant à elle été tournés dans la ville de Marseille et dans l’arrière-pays. Louis Leterrier avoua : « Nous avons pu fermer un tronçon de départementale quatre voies de neuf heures à seize heures pendant quinze jours. Nous devions respecter ces horaires à la lettre sous peine de nous faire interdire le site le lendemain. » Et lorsqu’on regarde le film, on estime que prendre ce risque en valait carrément le coup.