Bernard Menez est le troisième enfant de Jean Menez, agent des PTT à Asnières-sur-Seine, et de Germaine Pretenor, secrétaire de mairie puis femme au foyer. Son grand-père Jean était également facteur à Saint-Paul-de-Léon (Finistère). Il passe son enfance à La Garenne Colombes dans les Hauts de Seine. Honteux, il se retrouve dans un théâtre amateur. Il a trois frères ingénieurs.

Bernard Menez est le troisième enfant de Jean Menez, agent des PTT à Asnières-sur-Seine, et de Germaine Pretenor, secrétaire de mairie puis femme au foyer. Son grand-père Jean était également facteur à Saint-Paul-de-Léon (Finistère). Il passe son enfance à La Garenne Colombes dans les Hauts de Seine. Honteux, il se retrouve dans un théâtre amateur. Il a trois frères ingénieurs.

Bernard Menez épouse l’espagnole Maribel. Ce mariage a produit trois enfants.
garçons (William et Olivier) et une fille Elisa Menez devenue comédienne. Après Julien Cohen, c’est au tour de Bernard Menez de se confier sur le plateau de « Chez Jordan » (C8).

Les secrets derrière le succès de « Jolie Poupée »

« Jolie Poupée », 1983. C’est le titre qui l’a fait connaître du grand public.
Bernard Menez avait déjà fait un disque en 1977 à propos d’une campagne anti-tabac. La maison de production lui propose de faire un 45 tours sur les paroles de Jacques Lanzmann, parolier officiel de Dutronc. Et celui-ci écrit donc pour lui le titre « J’aime pas les filles qui fument ». Menez fait alors ce 45 tours qui ne sera ni un échec, ni un gros succès. Ce qui l’a amener à penser qu’il n’était donc pas nécessaire de renouveler l’opération.

En 1983, Marc-Fabien Bonnard lui fredonne « Jolie Poupée » et Bernard Menez lui réponds : « Ah, ça, pourquoi pas… » Une réponse qui a surtout bien surpris le parolier Bonnard, qui s’est empressé d’appeler son épouse, et de lui demander si Bernard était dans son assiette.

La même année, Bernard Menez enregistre « Jolie Poupée ». Mais le déclic, le propulseur, sera lors d’une émission du producteur de télévision Guy Lux. Ce dernier accepte de le faire venir pour la chanter, mais vraiment sans y croire, puisqu’il le programme sur le générique de fin. C’est lors des répétitions qu’il change d’avis et le met en générique d’entame. Ainsi, du jour au lendemain, la chanson a fait un tabac en engrangeant une popularité de fou, et même un disque d’or en trois mois. Mais malheureusement les autres chansons n’ont pas eu le même succès.

Bernard Menez révèle pourquoi il n’était pas dans le film « Le Rois Des Cons » de Wolinski

Bernard Menez a joué pendant trois de sa vie, dans la pièce « Le Rois Des Cons » de Wolinski. Mais lorsque la pièce a subi une adaptation cinématographique, Menez a brillé par son absence. Il explique pourquoi

« C’était un drame absolu » comme le dis si bien Bernard. Il a joué la pièce dans trois théâtres différents. Mais il se trouve que le metteur en scène à l’époque pensait que sa notoriété était insuffisante pour être tête d’affiche au cinéma, et il a été cherché Francis Perrin. En gros il n’était pas assez connu pour le producteur Paul Claudon.

Malheureusement le film n’a pas marché. Bernard n’en veut pas à Confortes. « Le pauvre Confortes, il pouvait rien faire parce qu’on lui avait dit : ‘c’est ça ou rien’. Alors lui il a accepté mais je ne lui en veux pas parce qu’il est venu, il m’a appelé, mais il ne savait pas comment s’y prendre. On était pratiquement en larmes tous les deux. C’était un drame absolu ! D’ailleurs c’était une erreur grave parce que le film n’a pas marché mais, je pense que le fait de l’avoir joué pendant trois ans au théâtre et tout, j’étais bien plus imprégné du rôle que Francis.«