Poupette Kenza : Elle était bien au courant de son placement de produit illégal ?
Poupette Kenza crie au scandale contre les 50 000 euros que lui réclament la DGCCRF. Elle jure qu'elle n'était pas au courant du caractère illégal des produits Crest. Pourtant...
👉 Poupette Kenza fulmine de devoir payer 50 000 euros d’amende suite à un placement de produit illégal
👉 Elle se justifie en disant qu’elle n’était pas au courant que le produit en question est interdit en France
👉 Les internautes sont là pour lui rappeler qu’elle était pourtant bien au courant, vocal à l’appui
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On peut compter sur les internautes pour faire de l’archéologie sur le web. Rappelez-vous, rien ne disparaît sur Internet. Aujourd’hui, faire des captures d’écrans ou des enregistrements de vocaux, c’est à la portée d’un enfant de 5 ans. Et vous le savez, Poupette Kenza dit tout ! Depuis quelques années, ses 1,4 million d’abonnés sur Snapchat ne loupent pas une minute de la vie de l’influenceuse.
Hier, Poupette Kenza annonçait être dégoûtée, car la DGCCRF lui colle une amende de 50 000 euros ! En cause, de la publicité pour un produit illégal en France, Crest. Il s’agit d’un produit qui blanchit les dents. Sur ses réseaux, en larmes (de crocodiles ou non, à vous de juger !), elle confesse dans un premier temps ne jamais avoir été au courant de l’interdiction de ce produit « miracle » en France.
D’ailleurs, dans le même post, elle pousse encore ses poupettes à utiliser Crest, « c’est trop bien » ! Seulement, la reine de Snapchat a la mémoire courte et pour les internautes, à force de trop mentir, elle s’emmêle elle-même dans ses mensonges… Explications !
Poupette Kenza, en flag’ de mensonges ?
Une conversation où l’on reconnaît clairement la voix de Poupette Kenza vient de ressortir. On vous le répète, sur le web, rien ne meurt jamais ! En pleine discussion sur les produits Crest, un jeune homme lui rappelle que certains composants utilisés par la marque sont interdits en France.
L’interlocuteur poursuit : « Si tu fais des pubs avec des bonnes marques, tu vas être rentable. » La conversation coupe court suite à l’intervention d’Allan, devenu l’ex de Poupette.
Poupette Kenza continue de crier au scandale
Malgré ces preuves accablantes, Poupette Kenza continue de nier. Pour elle, il s’agit d’une véritable injustice simplement parce qu’elle est qui elle est. « J’ai demandé à tous les influenceurs, ils m’ont dit qu’ils n’avaient pas eu d’amende, juste un rappel à la loi. Moi, 50 000 euros ! C’est des voleurs finis ! »
La queen Poupette ajoute, un peu provoc’ : « Je suis bien contente d’être partie, je paierai 0 impôt ! ». Pas sûre que ce soit judicieux de balancer de tels propos là tout de suite !
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À propos de l'auteur, Charlotte Lamouche
Passionnée de voyages, de culture et de médias, j'ai étudié le cinéma. Aujourd'hui très heureuse au sein de Newstories, je suis revenue à mes premières amours : l'écriture, la pop culture et les médias !