Poupette Kenza accusée de violences sur mineur, elle sort totalement innocentée de sa garde à vue

C’est un véritable feuilleton qui pourrait faire un excellent roman, que nous livre Kenza ce soir. L’histoire est incroyable de rebondissement. Poupette Kenza a été prise à son propre piège. Celui des réseaux sociaux. Celui de trop en raconter, sans savoir à qui… En face, il y a des haters, des jaloux aussi, prêts à tout pour détruire celle qui brille sur les réseaux sociaux.

Alors que le petit Khalis est placé provisoirement, Poupette et Allan rentrent chez eux sans leur petit. Une véritable déchirure pour les parents. La maman ajoute, bouleversée, qu’elle allaite son fils. « Il n’aura plus le lait de maman. Il ne dormira plus avec maman. Les poupettes, vous le savez, je n’ai jamais découché. J’ai toujours dormi avec Khalis. »

« Quand je rentre à la maison, ma mère est dépitée. Elle pleure. Tout le monde pleure. Et moi, j’ai une grosse montée de lait. J’appelle l’hôpital pour savoir si je peux leur apporter du lait pour Khalis. » Heureusement, la maman a été autorisée à apporter son lait maternel. C’est la soeur de Poupette Kenza qui a dû s’en charger, car la maman avait interdiction de voir son enfant.

« Je suis descendue jusqu’à 46 kilos »

Pendant 4 jours, la maman de Khalis ne mangera plus. Mais Poupette prévient, un autre drame était sur le point de survenir. Allan reçoit un appel de la brigade des mineurs. « Vous êtes convoqués à 9 heures demain matin, pour un interrogatoire. »

« Vous connaissez l’expression ‘j’ai mal au coeur’ ? Est-ce que vous me croyez si je vous dis que j’avais vraiment mal au coeur ? » Exprime la jeune femme qui nous donne des frissons. « Vous savez que si j’avais fait tomber Khalis, je vous l’aurais dit. Vous savez que c’est un accident domestique qui peut arriver à tout le monde. Quand je suis arrivée à l’hôpital, je pensais à une tumeur, un truc comme ça. Jamais de ma vie j’aurais imaginé que c’était une chute. »

Début de la garde à vue pour Poupette Kenza

Arrivée au commissariat, la police annonce à Poupette Kenza qu’elle va être placée en garde à vue pour « violences sur mineur aggravées ». Poupette craque. « Je n’ai jamais fait de garde à vue de ma vie, on vient de me prendre mon fils et vous me parlez de violences sur mineur ? » La maman insiste sur le fait qu’elle n’a jamais mis une simple petite gifle à ses enfants. Elle est encore persuadée qu’il y a erreur.

Malgré la difficulté de l’épreuve, Poupette Kenza a trouvé l’officière de police « très humaine ». Mais la maman découvre alors un monde qui lui est jusque-là totalement inconnu. « Ça puait le pipi dans la cellule. C’est tout gris. Il y a une fille dans la cellule qui me reconnaît. Elle me dit ‘Poupette’ ? » La maman a tout de suite compris que cette garde à vue risquait déjà de fuiter de partout.

La jeune femme en profite pour rappeler que tout ce qui a été dit sur les réseaux sociaux, en son absence, ce sont des fake news. La garde a vue n’a pas duré plus d’une heure.

La question « comment vous expliquez cette fracture du crâne sur Khalis ? » est toujours suivie par la même réponse. « Madame, je n’ai jamais fait tomber mon enfant. » Heureusement, au moment où Poupette nous raconte sa terrible épopée vers les enfers, elle a été totalement innocentée.

« Violences sur mineur aggravées », Poupette innocentée

La maman de Khalis n’en revient pas d’avoir lu sur les réseaux autant de haine et de bêtises. Si vous vous souvenez, de nombreux posts affirmaient que Poupette Kenza avait avoué avoir fait tomber son petit garçon.

L’audition de la maman aura duré trois heures. Trois heures interminables durant lesquelles Poupette a dû se justifier de tous ses posts Snapchat. Mais la compagne d’Allan a enfin su pourquoi elle était accusée de violences sur mineur. Il s’agit encore et toujours de cette fâcheuse vidéo où Poupette marche malencontreusement sur la main de sa petite fille.

Malheureusement, la brigade des mineurs n’a pas reçu les vidéos dans leur intégralité. En effet, ils n’ont reçus que des bribes, sans cette fameuse séquence où Poupette embrasse la main de sa petite, en s’excusant.

Pendant son audition, la maman de Poupette Kenza a été appelée pour la sommer d’emmener Seyanna à la médecine de la police. Comme pour Khalis, la petite est examinée jusque dans son intimité. Heureusement, rien à signaler… Poupette est blanchie, elle n’a pas fait tomber son fils et n’est pas coupable de violences.

Mais elle n’en a pas fini avec les haters qui n’ont pas hésité à faire de fausses attestations…