“J’étais en pleurs toute la journée » : Rym Renom évoque sur les difficultés qu’elle a rencontrées après sa rupture avec Vincent

Ces derniers temps, Rym Renom qui mène une vie de maman célibataire répond aux questions ses abonnés sur ses réseaux. Mais récemment, la sulfureuse brune a décidé de basculer sur YouTube. Ainsi, Rym a dévoilé une longue vidéo dans laquelle elle évoque différents sujets. Notamment sa nouvelle vie à Bali, la possibilité d’avoir un troisième enfant avec un autre homme.

L’ex de Vincent Queijo qui est très souvent critiquée sur la Toile, a aussi été questionnée sur leur rupture. Et à en croire ses réponses, cette séparation n’a été simple à vivre pour elle. Mais plusieurs mois se sont écoulés et Rym Renom se sent bien mieux désormais.

Rym Renom évoque l’après rupture avec Vincent

Rym Renom dans ses confidences a commencé par confier : « J’ai vécu des mois très compliqués, des mois où j’ai été jugée sans cesse, des mois où j’étais en pleurs toute la journée. Mais je pense que j’avais besoin de me sentir comme ça. Je me suis vite relevée. Je me suis vite dit : ‘Tu es maman, Rym, tu ne peux pas avoir cette énergie négative.' ».

Elle ne s’arrête pas et ajoute : « Et surtout, je ne suis pas comme ça, de base. Du coup, j’ai vite remonté la pente après toutes les critiques que j’ai reçues sur les réseaux sociaux. Bien évidemment, on a dit plein de conneries. Mais je ne vais [pas] dépenser mon temps à me justifier ou donner des preuves pour montrer que je ne suis pas comme ça ou que je ne suis pas dans une secte. Je n’ai pas le temps pour ça« .

Toujours dans cette vidéo YouTube, l’influenceuse a révélé avoir consulté une psychologue suite à sa rupture. « Ça m’a fait beaucoup de bien, car j’ai eu l’impression que cette personne m’a épaulée et m’a écoutée. J’avais besoin d’extérioriser, de me défouler et de parler avec quelqu’un qui n’allait pas me juger. Je me suis sentie bien après chaque séance ». A-t-elle expliqué.

Cette dernière a également conseillé à ses abonnés de consulter un psy en cas de besoin pour parler de leurs troubles. « N’ayez pas peur« , conclut-elle.