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« I Came By » : Un thriller Netflix pas comme les autres

"I came by", le film fait déjà sensation dans un mélange de crime et d'horreur à couper le souffle.

Steve Essiane
🕓 Modifié le
"I came by" : Un thriller Netflix pas comme les autres
Résumé de l'article

👉 « I came by » est le film thriller le plus attendu des fans de l’horreur, du crime et du suspens.

👉 Annoncé depuis fort longtemps, le film vient avec de nouveaux éléments pour le scénario.

👉 « I came by » était la pièce manquante à la collection des films thriller à succès.

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« I came by » est un thriller spécialement obscur signé par Babak Anvari le réalisateur de « Under the Shadow et wounds ». 

Dans ce film, Hugh Bonneville joue le rôle d’un juge britannique qui garde un secret terrible dans sa cave. « I Came by », c’est la trace que laissent les graffeurs Toby (George Mackay) et Jay (Percelle Ascott) dans les maisons de luxe où ils s’introduisent dans le but de faire comprendre que personne n’est en lieu sûr, pas même les personnalités les plus influentes et puissantes. 

Des larcins que Jay veut stopper, voulant consacrer du temps à sa petite famille qu’il bâtit progressivement avec Naz (Varada Sethu).

« I Came By » : un délit qui vire en tragédie

Lorsqu’il fait parler à Toby du domicile du juge Hector Blake (Hugh Bonneville), son équipier essaie de le persuader d’y aller avec lui. 

Jay dit « non » et Toby commet le délit tout seul. Une fois dans la maison, il découvre quelque chose d’incroyable. Les jours ont passé et ce dernier ne fait plus signe de vie.
Lizzie, sa mère ( Kelly Macdonald) et  Jay vont aller à sa recherche. Après avoir essayé  l’horreur Under the Shadow et Wounds, le réalisateur produit un thriller extrêmement violent avec I came By.

Un film au cours duquel il réussit à dévier les attentes du spectateur plusieurs fois de suite, faisant des retournements de situations brutales, sans hésiter à sacrifier certains personnages clés pour se concentrer sur d’autres.

Malgré un décor esthétique entièrement anecdotique et des ellipses très mal entamées, le film nous donne de vivre des moments d’adrénaline en faisant preuve de beaucoup de cruauté. Hugh Bonneville qui est habitué aux personnages pleins de bonhomie se retrouve dans son élément.

Un individu sadique caché derrière son titre, ainsi que ses sourires de surfaces et sa bienveillance, qui fait aussi appel à d’autres crapules douées pour se faire passer pour des êtres aimables.

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À propos de l'auteur, Steve Essiane

Stève, auteur, passionné d'actu,