En octobre 2022, Marine El Himer a annoncé une heureuse nouvelle à sa communauté après de longs mois de procédures administratives : l’obtention de la nationalité marocaine. Sur un cliché posté sur Instagram, la jeune femme s’était félicitée d’avoir eu ses papiers, brandissant fièrement le récépissé de sa Carte Nationale Marocaine.

Ainsi, lors de la demi-finale France vs Maroc, en Coupe du Monde, la sœur d’Océane a bien évidemment supporté son pays d’origine. Un geste qui lui a valu des critiques virulentes. Pour cause, certains internautes ont eu du mal à comprendre le choix de candidate du RDM à qui la France tout donné.

Face à cette vague d’acharnement, Marine El Himer avait rétorqué : « Je suis fière et riche d’avoir la double nationalité Française et Marocaine. Jusqu’ici, j’avais le sentiment et la joie d’avoir gagné deux fois (…) Ce sentiment de joie, de fierté, on me l’a retiré en m’accusant injustement de tourner le dos à ma France. Pire, en me demandant de choisir entre les deux. Comme si on demandait à un enfant de choisir entre son papa et sa maman. »

« Je porte ma religion dans mon cœur »

Décidément, Marine El Himer est mise à la sauce sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Bien qu’elle soit convertie l’islam, la jumelle a célébré la fête de Noël auprès des siens. Un moment qu’elle a posté sur Instagram et qui lui a valu une avalanche de commentaire haineux.

Outre, ce mardi elle a partagé un superbe cliché avec sa communauté, mais il n’a pas reçu les appréciations attendues. En effet, plusieurs internautes se sont indignés du lifestyle de Marine qui serait contraire à la religion musulmane. Afin de rétablir l’ordre des choses, la concernée a brisé le silence en story Instagram :

« Avoir la foi, c’est aussi et surtout un travail et un cheminement de tous les jours, jusqu’à son dernier jour. Je porte ma religion dans mon cœur, un voile de pureté sur mes paroles, mes faits et actes (…) Ne vous basez pas sur les apparences pour juger des convictions religieuses d’une personne et pour la condamner (…) À bon entendeur… «  Voilà qui est dit !