Avec le film d’action The Grey Man, disponible sur Netflix ce 22 juillet, Anthony et Joe Russo ont livré un blockbuster d’action de haute qualité ! Concernant le casting, les choix ont été minutieux et le budget alloué au film s’estime à 200 millions de dollars. Au programme, une traque destructrice d’un agent de CIA clandestin nommé « Sierra Six », incarné par Ryan Gosling. 

En effet, Ce dernier, surnommé « The Gray Man », aura en sa possession une clé USB contenant des secrets compromettants. De Bangkok à Prague en passant par la Croatie, pour Vienne, l’agent secret Lloyd Hansen (Chris Evans) fera alors tout pour se débarrasser de lui et récupérer la clé USB.

Ryan Gosling et Chris Evans : un duel au sommet

C’est une alliance, ou alors une opposition, de rêve. C’est à cœur joie que les 2 acteurs se prêtent ainsi au jeu du chat et de la souris musclé, rempli de séquences d’action époustouflantes. D’un côté, Ryan Gosling incarne un personnage doté d’un sang froid, efficace et habile au combat.

D’autre part, Chris Evans interprète un gangster assassin, cynique, impitoyable et souvent plein d’humour dans ses réflexions. Leur casting est un total succès ! Et, nous ne pouvons qu’être heureux de découvrir Ryan Gosling dans un rôle phare de pur action héro.

Des rôles féminins non clichés

Plusieurs personnages féminins tirent leur épingle du jeu autour des deux hommes. C’est notamment le cas de la géniale Ana de Armas, parfaitement à l’aise dans son role de femme d’action depuis « Mourir peut attendre ». Dans The Gray Man, celle-ci incarne « Dani », une alliée de « Six ». Particulièrement performante au combat, celle-ci est de retour pour casser des gueules.

Un autre ajout royal au casting : Julia Butters, joue ici la nièce du recruteur et mentor de « Six ». On note également les présences de Jessica Henwick et Alfre Woodard qui interprètent respectivement l’antagoniste et le protagoniste.

Une fiction « Bond-Levels »

L’exécution des séquences d’action n’est pas toujours réussie, en partie à cause de l’utilisation excessive de CGI. 

Mais l’intention est là et elle procure de bonnes sensations. Dans les airs, au sol, armés ou à main nues, les personnages de The Gray Man n’y vont pas de mains mortes. Les objectifs visés sont en effet clairs : être à la hauteur et rivaliser avec des sagas comme « Mission Impossible ou encore 007 ».