Comment s’est déroulée cette première semaine de Dry January et comment ne pas céder à la tentation avec humour ?

On est certains que vous êtes très sérieux et que vous n’avez pas repris un seul verre d’alcool depuis le premier janvier ? Bon, vous pouvez l’avouer, on sait bien que ce n’est pas si facile. Surtout qu’en France, l’apéro, c’est sacré ! C’est la récompense de beaucoup de personnes. On rentre du boulot, on retrouve les copains, on cherche à se détendre… Pourtant, l’alcool, sans une bonne gestion de son usage, est tout sauf une bonne façon de se détendre !

Le Dry January a été mis en place pour que tout un chacun puisse contrôler sa consommation et surtout faire une pause. Votre foie ne pourra que vous en être reconnaissant. Ce mois sans alcool a aussi été inventé pour qu’on puisse se rendre compte si on a un petit problème avec l’alcool, ou non.

En effet, on les connaît les « Ah, mais moi, j’arrête quand je veux ! » En vérité, c’est souvent bien plus difficile qu’il n’y paraît. Parfois même, ça demande un petit entraînement les semaines précédent le mois de janvier.

Quelques conseils pour résister à la tentation durant le Dry January

Pendant le Dry January, vous avez décidé de faire une pause d’un mois. Et dans ces moments-là, les copains sont bien souvent ce qu’il y a de pire. « Allez ! Juste un verre, ça va pas te tuer ! », ou comment dézinguer vos bonnes résolutions en deux minutes.

On les aime nos copains, mais alors qu’est-ce qu’ils peuvent être relous ! À croire que si on ne boit pas d’alcool, ,on est ennuyeux. Beaucoup se trouvent plus drôles pourtant, à jeûn ! L’alcool n’invente pas les blagues tout seul de toute façon, qu’on se le dise.

N’hésitez pas à dire « non merci » lorsqu’on vous tend un verre. Il faut savoir s’écouter et il n’y a pas de raison non plus pour que vous restiez cloîtré chez vous tout un mois, non mais !

Le souci à l’heure de l’apéro, c’est qu’on a peur de vexer l’autre. Pourtant, aucune raison à cela puisque chacun est encore libre de faire ce qu’il veut et de prendre soin de sa santé. Et puis, on ne vous a pas demandé d’être abstinents pour toujours. Juste un mois ! Ah, la pression sociale !

« En France, refuser de l’alcool, c’est aussi refuser la convivialité. C’est ancré dans notre culture. Quand on dit “non”, on est aussi vu comme quelqu’un de chiant, de pas drôle. » explique un expert en addictologie.

Jouez la carte de l’humour pendant le Dry January

Quand on dit non, c’est non ! C’est pareil dans tous les domaines. Gardez en tête que personne n’a le pouvoir de vous forcer à quoi que ce soit. Ni à boire, ni à ne pas boire d’ailleurs. Expliquez à vos amis que vous vous êtes lancé un défi en ce début d’année. Allez plus loin en leur demandant s’ils sont cap’ de faire la même chose que vous ! Vous pourriez Dry Januarier ensemble !

Dites aussi à vos amis que vous avez épuisé tous vos points gueule de bois. Racontez-leur votre dernière cuite. Mais pas que ! Racontez-leur vos pires « souvenirs » (même si vous n’êtes pas sûr puisque vous ne vous souvenez de rien !) et comment vous avez écrit à tous vos ex en une seule et avez failli vous casser le nez et deux bras en tombant sur un trottoir à la sortie de La Féline en 2014 !

Rappelez-leur aussi le nombre de fois où vous vous êtes réveillé(e) auprès de quelqu’un qui vous a proposé son numéro de téléphone et comme vous étiez gêné(e) de ne plus se souvenir de son prénom. Dites-leur que vous êtes ok pour boire, mais dans ce cas-là, vous êtes sous leur unique responsabilité ! Ça va les refroidir comme un mojito bien frais.

À la vôtre et prenez soin de vous en cette nouvelle et heureuse année ! Tchin (avec un Perrier rondelle bien sûr…)